mercredi 26 mai 2021

Retour, je te soulève et tu observes

  1. La vie
    chaque heure
    et chaque jour

    souvenirs d’enfance

    mémoire noyée
    fibreuse matière
    du ciel en agonie

    le regard se perd
    à chaque page trouvée

    le cœur est un mystère
    une pierre rouge
    sur le fil de l’air


    Je te tiens
    tu écris l’improbable
    l’ombre d’un nuage
    le tremblement premier

    dire encore
    les enfants égarés
    sans rêves colorés

    dire encore
    l’oiseau déplumé
    oublié - supplicié

    sur la grève une pierre
    et des branches mêlées

  2. Maria Dolores Cano, 26 mai 2021 à 08:45. ici.


Je te soulève et tu observes

S’entendre et se poser se recueillir et commencer sortant de l’ombre sortant tu composes et tout ici de tout se rend et comptable et coupable et faute posée et corps dévoué et peau griffée tu tournes et tu contemples fleurs suspectes et enfants perdus tu tombes et tout te tient tu recommences commences-tu

enfant perdu parure étrange et d’un père encombré et de mémoire plein tu tiens encore et encore de remords en retours des enfances de noyés tu te précipites et tu entrevois au ciel des voiles allongés des linges en lambeaux du drap pour le repos et du charbon pour tracer des carrés et des cercles et rangs

perdus et nombres sans chaleur je vois et je commente de pauvres noyés et des enfants trouvés sous chaque page je tremble et tu avances avancerions nous aussi vite retour sur le haut les épaules dégagées cœur en avant et poitrine large je te soulève et tu observes les fils dans les l’air les fils aux nuages

la rumeur du lointain au profond au ravi je tremble et tu hérites de noms gravés et d’étoiles perdues en avance en avançant et avancerions-nous chargés de pierres et d’ombre de nuages et d’absence je te termine et tu déploies un mot pour un autre et rond et carré et cercle avoué je te tiens tenu

trembles-tu et tu trembles d’un histoire à une autre de charges en chemins et d’aventures tu tournes et je traque en dire encore et encore en dire ils sont ici et là enfants perdus et enfants abandonnés sans histoires sans nuances draps arrachés et visages dans l’ombre je cherche et tu dois en dire encore

devrions-nous en dire et en faire je vois et j’augmente de pauvres noyés j’augmente un nœud au fil j’augmente et un autre et un autre sans rien en dire en faire tout en faire d’augmentation en augmentation petit noyé perdu sur le rivage il songe encore et encore bien avant la diminution bien avant accordé

épuisé il s’accorde d’abord la réparation parcelle augmentée rang retenu des pierres et des mottes et des branches mêlées et confuses j’en cherche encore et encore j’en cherche et j’y consens. 

23 avril 2021.

Retour, je te soulève et tu observes

Consentir
à la pauvreté

sur le fil – les noyés
rêvent de rivage

sur la grève une pierre
une motte de terre
et des branches mêlées 

Maria Dolores Cano, 25 mai 2021 à 15:48. ici.




mardi 25 mai 2021

Je te soulève et tu observes


devrions-nous en dire et en faire je vois et j’augmente de pauvres noyés j’augmente un nœud au fil j’augmente et un autre et un autre sans rien en dire en faire tout en faire d’augmentation en augmentation petit noyé perdu sur le rivage il songe encore et encore bien avant la diminution bien avant accordé

épuisé il s’accorde d’abord la réparation parcelle augmentée rang retenu des pierres et des mottes et des branches mêlées et confuses j’en cherche encore et encore j’en cherche et j’y consens. 

23 avril 2021.

lundi 24 mai 2021

Retour, je te soulève et tu observes

Dire encore
le tremblement premier
le chemin de l’histoire
l’aventure au tournant
cette traque sans fin

dire encore
les enfants égarés
perdus et dépravés
sans histoires à aimer
sans rêves colorés

dire encore
les visages de l’ombre
les draps lacérés
l’oiseau déplumé
oublié - supplicié 

Maria Dolores Cano,  24 mai 2021 à 10:07. ici.




Bob.


 



Je te soulève et tu observes

trembles-tu et tu trembles d’un histoire à une autre de charges en chemins et d’aventures tu tournes et je traque en dire encore et encore en dire ils sont ici et là enfants perdus et enfants abandonnés sans histoires sans nuances draps arrachés et visages dans l’ombre je cherche et tu dois en dire encore

dimanche 23 mai 2021

Retour, je te soulève et tu observes

Je te tiens
tenu à la rumeur
lointaine
ravi sous les étoiles

sur la pierre
tu écris l’improbable
l’ombre d’un nuage

les mots déployés
murmurent sans réponse

Maria Dolores Cano, 23 mai 2021 à 10:15. ici.


Je te soulève et tu observes

la rumeur du lointain au profond au ravi je tremble et tu hérites de noms gravés et d’étoiles perdues en avance en avançant et avancerions-nous chargés de pierres et d’ombre de nuages et d’absence je te termine et tu déploies un mot pour un autre et rond et carré et cercle avoué je te tiens tenu

samedi 22 mai 2021

Retour, je te soulève et tu observes

Au fil des nuages
le regard se perd
les enfants sourient
à chaque page trouvée

le cœur est un mystère
la poitrine est sa terre
pierre rouge
sur le fil de l’air

Maria Dolores Cano, 22 mai 2021 à 08:18. ici.

Je te soulève et tu observes

perdus et nombres sans chaleur je vois et je commente de pauvres noyés et des enfants trouvés sous chaque page je tremble et tu avances avancerions nous aussi vite retour sur le haut les épaules dégagées cœur en avant et poitrine large je te soulève et tu observes les fils dans les l’air les fils aux nuages

Retour, je te soulève et tu observes 20 mai

Commences-tu
aux fils voués à se briser

le temps
la vie

le sel
le ciel de la raison

chaque heure
et chaque jour
traces anciennes de ce qui mue

les yeux levés
la peau griffée
souvenirs d’enfance
recommencer

Maria Dolores Cano, 20 mai 2021 à 16:47. ici.



vendredi 21 mai 2021

Je te soulève et tu observes

enfant perdu parure étrange et d’un père encombré et de mémoire plein tu tiens encore et encore de remords en retours des enfances de noyés tu te précipites et tu entrevois au ciel des voiles allongés des linges en lambeaux du drap pour le repos et du charbon pour tracer des carrés et des cercles et rangs

jeudi 20 mai 2021

Je te soulève et tu observes

S’entendre et se poser se recueillir et commencer sortant de l’ombre sortant tu composes et tout ici de tout se rend et comptable et coupable et faute posée et corps dévoué et peau griffée tu tournes et tu contemples fleurs suspectes et enfants perdus tu tombes et tout te tient tu recommences commences-tu





mercredi 19 mai 2021

Retour, je te retourne et tu contemples

la vie en vrac
petits morceaux de toiles cousus
comme images du passé

baisers imprimés
nuit d’été

cœur en voyage
sur l’eau calme du secret

chemin d’herbe et de soie parfumé

Maria Dolores Cano, 19 mai 2021 à 09:14. ici.




Je te retourne et tu contemples

Comprendre dire et faire tu marches tu marches et rien de rien ne se refait tu es donné pour vivre en vrac et en absence une chose posée sur une autre et marche, marche, encore et retourne tu sers et tu imposes des yeux à éblouir des mains à consoler sans retenue devant la porte tu es du tout et du tiers

comme du quart, peu, peu de choses en avance tu empiles et tu composes en revenant en y pensant encore et souvent des planches entassées et courbes et voilées et d’étage en étage des meubles pour se souvenir il reste encore et encore des bruits à partager et des ressources à découdre défait dépense

et faufile du rien sur le devant et des objets posées étagères et greniers tout te comble et tu respires la poussière des années le sel des cœurs abandonnés tu résous et tu achèves une montée essoufflé escalier trop tendu et joue encore posée encore et encore, au cuir, au cuir acide et qui marque comprendre

dire et faire chagrin tenu et corps récompensé d’éblouissements en éblouissements et de montées en abandons je te tourne et tu constates cœur à prendre et retourné des yeux offerts et de la cendre sous les pieds était-il nu était-il fier tu seras toujours et encore et fort de promesses et rassurant montant

tu reviens et tu prends je te tourne et tu contemples des fleurs et des cailloux des images tout ce qui vole tu te reprends et tu enchantes un souvenir une raison tout ferme et se concentre on se demande on s’inquiète tu reviens et tendu tu abandonnes il reste une éternité à entretenir des pensées

en voyage des larmes abandonnées un cœur de petit animal et des doigts pour arracher, à deux, à deux les ailes des papillons cœur ébloui soif apaisée tu te retournes et tu contemples un désespoir et la tristesse ensemble les souvenirs les images d’un rêve un souvenir la fièvre tu désires retenu et admirable

tu tiens encore et encore le fil de l’avenir la corde des pendus le câble de la nasse carrelet sur l’eau calme, il monterai peut être et je finirai ainsi et aussi file et surfile tu couds et tu résous les mystères un par un les clefs et les mots tout du secret tout de l’absence la rive et le lointain les épisodes les langueurs

je te retourne et tu contemples le paradis perdu et la porte jamais ouverte tu cherches et tu espères un chemin pour tout poser aux étagères fils de soie et outils le chantier est ouvert tu y penses et encore et encore.

17 avril 2021.

mardi 18 mai 2021

Je te retourne et tu contemples

tu tiens encore et encore le fil de l’avenir la corde des pendus le câble de la nasse carrelet sur l’eau calme, il monterai peut être et je finirai ainsi et aussi file et surfile tu couds et tu résous les mystères un par un les clefs et les mots tout du secret tout de l’absence la rive et le lointain les épisodes les langueurs

je te retourne et tu contemples le paradis perdu et la porte jamais ouverte tu cherches et tu espères un chemin pour tout poser aux étagères fils de soie et outils le chantier est ouvert tu y penses et encore et encore. 

17 avril 2021.

lundi 17 mai 2021

Retour, je te retourne et tu contemples

Larmes oubliées
le cœur est en voyage
léger
comme ailes de papillon

cœur apaisé
assoiffé de désir

souvenirs revenus
et rêves retenus

tristesse d’une image
aujourd’hui surannée

Maria Dolores Cano, 17 mai 2021 à 10:18. ici. 




Je te retourne et tu contemples

en voyage des larmes abandonnées un cœur de petit animal et des doigts pour arracher, à deux, à deux les ailes des papillons cœur ébloui soif apaisée tu te retournes et tu contemples un désespoir et la tristesse ensemble les souvenirs les images d’un rêve un souvenir la fièvre tu désires retenu et admirable

dimanche 16 mai 2021

Retours, je te retourne et tu contemples

Comprendre
et dire le vrai
la vie en vrac

marcher en absence
yeux ouverts sur le monde
consolation

12 mai 2021 à 19:48


Dire le chagrin
cœur à prendre sous la cendre
le corps récompensé

nu et fier
dans la promesse
de l'aube

15 mai 2021 à 11:45

Maria Dolores Cano, ici.




Je te retourne et tu contemples

tu reviens et tu prends je te tourne et tu contemples des fleurs et des cailloux des images tout ce qui vole tu te reprends et tu enchantes un souvenir une raison tout ferme et se concentre on se demande on s’inquiète tu reviens et tendu tu abandonnes il reste une éternité à entretenir des pensées


samedi 15 mai 2021

Je te retourne et tu contemples

dire et faire chagrin tenu et corps récompensé d’éblouissements en éblouissements et de montées en abandons je te tourne et tu constates cœur à prendre et retourné des yeux offerts et de la cendre sous les pieds était-il nu était-il fier tu seras toujours et encore et fort de promesses et rassurant montant

vendredi 14 mai 2021

Je te retourne et tu contemples

et faufile du rien sur le devant et des objets posées étagères et greniers tout te comble et tu respires la poussière des années le sel des cœurs abandonnés tu résous et tu achèves une montée essoufflé escalier trop tendu et joue encore posée encore et encore, au cuir, au cuir acide et qui marque comprendre

jeudi 13 mai 2021

Je te retourne et tu contemples

comme du quart, peu, peu de choses en avance tu empiles et tu composes en revenant en y pensant encore et souvent des planches entassées et courbes et voilées et d’étage en étage des meubles pour se souvenir il reste encore et encore des bruits à partager et des ressources à découdre défait dépense


mercredi 12 mai 2021

Je te retourne et tu contemples

Comprendre dire et faire tu marches tu marches et rien de rien ne se refait tu es donné pour vivre en vrac et en absence une chose posée sur une autre et marche, marche, encore et retourne tu sers et tu imposes des yeux à éblouir des mains à consoler sans retenue devant la porte tu es du tout et du tiers


mardi 11 mai 2021

Retour, "Tu contemples"

frémir
le nez au vent
le regard absent


les oiseaux vont et viennent


nous sommes les songes
les lettres des forges en partance
aurores sans fin


les héros sont fatigués
bouches ouvertes et cœurs bernés

temps héroïques en apnée
indignation
et désertion

Maria Dolores Cano, 11 mai 2021 à 08:23. ici.




Tu contemples

Au froid immense sans couverture tu tiens et tu retiens les bords bourrasques et corbeaux et frémissements sous les injures vol tendu et retour sur le devant et sans encombre le nez ouvert où tout palpite je te tiens et tu commences service des commandements choses accumulées les bords

au regard au détail aux bras tendus sur le devant sans partage je reviens et je cerne nous sommes sous les nuages le vent souffle et souffle printemps sans commencement oiseaux sans retour tout passe et passent aussi oiseaux amoncelées un oubli l’absence au regard le tremblement au coin des yeux je tremble

et tu précipites nous sommes nous y sommes y viendrons nous un jour et jamais que sont que sont les songes devenus les rochers descendus les forges essoufflées les lettres majuscules les tyrans sur le dos et les chiens au flanc tout tourne et se concentre je reviens et tu dois et frémissant et tremblant

tu tournes et tu respires un rire un rire et contre et pur et l’indignation une majuscule qui se donne pour la colère je tourne et je reprends des aurores et des lendemains grand soir grand soir et difficile en ce passage étroit où meurent les exploits tout tourne et se concentre à la barrière aux confins je trame

et tu observes une source un trésor et des attentes allons et plus vite et plus grand de colères en renoncements croire et espérer héros forts et bouches ouvertes tu entres et tu contiens les dents bougent tu comptes les dérives sans autre certitude il faut il faut et faudrait-il encore respirer jour encore allons

ce jour de froid immense heures vertueuses et indignations je tourne et tu contemples bouche sèche jambes lourdes un cœur abandonné. 

17 avril 2021.



Retour, tu contemples

Un trésor à la source
et la colère décroit

les héros sont fatigués
bouches ouvertes et cœurs en croix
les convictions disparues

temps héroïques en apnée
heures vertueuses en allées

indignations
et cœurs en désertion


Maria Dolores Cano, 10 mai 2021 à 20:32. ici.


lundi 10 mai 2021

Tu contemples

et tu observes une source un trésor et des attentes allons et plus vite et plus grand de colères en renoncements croire et espérer héros forts et bouches ouvertes tu entres et tu contiens les dents bougent tu comptes les dérives sans autre certitude il faut il faut et faudrait-il encore respirer jour encore allons

ce jour de froid immense heures vertueuses et indignations je tourne et tu contemples bouche sèche jambes lourdes un cœur abandonné. 

17 avril 2021.

dimanche 9 mai 2021

Tu contemples

tu tournes et tu respires un rire un rire et contre et pur et l’indignation une majuscule qui se donne pour la colère je tourne et je reprends des aurores et des lendemains grand soir grand soir et difficile en ce passage étroit où meurent les exploits tout tourne et se concentre à la barrière aux confins je trame

    

samedi 8 mai 2021

Tu contemples

et tu précipites nous sommes nous y sommes y viendrons nous un jour et jamais que sont que sont les songes devenus les rochers descendus les forges essoufflées les lettres majuscules les tyrans sur le dos et les chiens au flanc tout tourne et se concentre je reviens et tu dois et frémissant et tremblant


Retour, retours, tu vas et tu reviens (en vrac)

Aux jours du monde
tisse les nuits sans confusion
cœur brisé dans le panier

une flèche de paille
le rire du ciel – une bataille
la terre en vrac

Maria Dolores Cano, 5 mai 2021 à 19:54. ici.




vendredi 7 mai 2021

Tu contemples

au regard au détail aux bras tendus sur le devant sans partage je reviens et je cerne nous sommes sous les nuages le vent souffle et souffle printemps sans commencement oiseaux sans retour tout passe et passent aussi oiseaux amoncelées un oubli l’absence au regard le tremblement au coin des yeux je tremble

jeudi 6 mai 2021

Tu contemples

Au froid immense sans couverture tu tiens et tu retiens les bords bourrasques et corbeaux et frémissements sous les injures vol tendu et retour sur le devant et sans encombre le nez ouvert où tout palpite je te tiens et tu commences service des commandements choses accumulées les bords

mercredi 5 mai 2021

Retours, tu vas et tu reviens (en vrac)

Vas

au bord de l’épuisement
là où la terre voit la fin du monde

entre les fils du temps
tisse les nuits avec les jours


Épuisement des cœurs émus
la foudre broie le chant ténu
un œil en proie au rire du ciel

au bout du bout la terre blessée

Lignes et points mêlés
bateau ivre au cœur brisé
une flèche l’a pris pour cible

Aux quatre points du jour
les rires fuient sans confusion
la joie embellit les cœurs


Fleurs et fruits dans le panier
au grenier batailles oubliées
fétus de paille endiablés


Maria Dolores Cano. ici.


Tu vas et tu reviens


Au bord du bout de l’épuisement tu tournes et tu contiens tu vas et tu reviens au bout du bout au fini de la terre reprendre et ordonner tu tournes et tu contemples du Nord du Sud et Ouest est revenu et flèches envoyées tu trames et tu contiens entre les fils va et vient la canette du monde tu tournes

et tu commences je suis ici et d’ici je compose fleurs et fruits et paniers greniers et balles de batailles je tourne et tu reviens à dos en batailles au dos des grandes formes au bord au bout de l’épuisement tu considères et tu tiens les fétus entassés et serrés tu reviens et je tourne sur le dos sur la peau

les rires et le charme tout ici œuvre et ordonne des points en quatre et en activité fuyons ainsi fuyons du plus grand au plus petit des formes et des doigts posés sur les épaules mains tendues et pleines poignées de paille et de joie je tourne et tu enchantes un effet une splendide confusion quatre points

emmêlés je tourne et tu compenses en avant en arrière et par côté tout avance et face à face en bondissant en montant en poussant bateau sur l’eau tu tangues tu vires et du Sud au Nord et d’Est en Ouest cœur brisé et voix sonore tu sonnes et je songe voix du Sud et gorge occidentale poitrine retenue

et courbes sans effets d’épuisement en épuisement au bord au bout je tangue et tu compenses de balles en balles et de piques en croches comme ce qui se chante comme ce qui se doit un œil ouvert à front déployé je tourne et tu reprends et tu devines les rires et le charme tout ici œuvre et ordonne

tu vas et tu reviens au bout du bout au fini de la terre.

16 avril 2021.

mardi 4 mai 2021

Tu vas et tu reviens

et courbes sans effets d’épuisement en épuisement au bord au bout je tangue et tu compenses de balles en balles et de piques en croches comme ce qui se chante comme ce qui se doit un œil ouvert à front déployé je tourne et tu reprends et tu devines les rires et le charme tout ici œuvre et ordonne

tu vas et tu reviens au bout du bout au fini de la terre.

16 avril 2021.

lundi 3 mai 2021

Tu vas et tu reviens

emmêlés je tourne et tu compenses en avant en arrière et par côté tout avance et face à face en bondissant en montant en poussant bateau sur l’eau tu tangues tu vires et du Sud au Nord et d’Est en Ouest cœur brisé et voix sonore tu sonnes et je songe voix du Sud et gorge occidentale poitrine retenue

dimanche 2 mai 2021

Tu vas et tu reviens

les rires et le charme tout ici œuvre et ordonne des points en quatre et en activité fuyons ainsi fuyons du plus grand au plus petit des formes et des doigts posés sur les épaules mains tendues et pleines poignées de paille et de joie je tourne et tu enchantes un effet une splendide confusion quatre points


samedi 1 mai 2021

Tu vas et tu reviens

et tu commences je suis ici et d’ici je compose fleurs et fruits et paniers greniers et balles de batailles je tourne et tu reviens à dos en batailles au dos des grandes formes au bord au bout de l’épuisement tu considères et tu tiens les fétus entassés et serrés tu reviens et je tourne sur le dos sur la peau