et faufile du rien sur le devant et des objets posées étagères et greniers tout te comble et tu respires la poussière des années le sel des cœurs abandonnés tu résous et tu achèves une montée essoufflé escalier trop tendu et joue encore posée encore et encore, au cuir, au cuir acide et qui marque comprendre
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire