perdus et nombres sans chaleur je vois et je commente de pauvres noyés et des enfants trouvés sous chaque page je tremble et tu avances avancerions nous aussi vite retour sur le haut les épaules dégagées cœur en avant et poitrine large je te soulève et tu observes les fils dans les l’air les fils aux nuages
RépondreSupprimerAu fil des nuages
le regard se perd
les enfants sourient
à chaque page trouvée
le cœur est un mystère
la poitrine est sa terre
pierre rouge
sur le fil de l’air