Des larmes pour toujours, et peut-être enfin, enfin comprendre, je boucle et je bois le ciel, le ciel, en attendant, la vie basculée, la méprise, cela nous rendrait meilleurs, et toi, et moi, toi remis, et moi dans la joie, le plat est refroidi, les espoirs déposés, le tremblement, au ciel, le tremblement pour la vengeance.
RépondreSupprimerToujours
les larmes
le ciel bu
la vie ici
est une erreur
la joie __ le froid
l’espoir si loin
au ciel tremblé