Une arme, tu tiens au chaud, au fond, bien loin, en plein, tendu et reposé, une larme, un catalogue, et mille et trois et encore, cela passe, cela passe, dans chacun tu étais et dans tous tu m’abandonnes, encore, et meurtri, et comblé, et guéri, et partant, tout ancien, tout tardif, attendant le vent et les étoiles.
RépondreSupprimerUne arme
une larme
un abandon
une meurtrissure
heureux et sauvé
dans le vent des étoiles