Rameaux anciens et arrachés, tout tremble et tout te tient, tu tournes encore et encore dans la vie, dans le temps, d’une larme à une autre, enfant abandonné, et au retour, des présents et des aveux, du charme et de la sècheresse, la vie nous réduit, tout encore se tient, le cœur est assoiffé, tenant.
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimer
RépondreSupprimerRameaux arrachés
larmes d’enfant sacrifié
le cœur assoiffé