Au ciel les nombreuses étoiles, le linge du dernier lit, draps et voilures déposés, étendus, tendus, enlacés, tout porte et te retient, tu commences, et je cerne, approché du mystère et des questions, je tremble et tremblant, je tourne, et au fond, au fond, en nous, nous nous tenons, la vie n’est pas inutile.
RépondreSupprimerAu ciel
les étoiles
voilures
d’un ciel de lit
mystère
de l’utile