Et le retour, enfin, enfin, des oiseaux en réveil, je te cerne et je comprends, tu tournes encore et tu vides le temps perdu, les yeux fermés, et le corps abandonné, la joue sur le cuir, et acide tout mord, l’escalier descendu, remonté, pâleur et confusion, je tremble et je m’agite, et du drame, et du sang.
RépondreSupprimerÉveil des oiseaux
les yeux sont lourds
le corps lascif
la joue si douce
pâleur du jour
chaos du cœur
une illusion
sur un rameau : rappel des oiseaux
RépondreSupprimersur un rameau mon coeur balance
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