Et ce qui est le plus important le vent entre les feuilles les branches frottent et aux yeux étonnés le souffle est repris tout est posé et tout commence ce qui est le plus ce qui pourrait être la chose parfaite ce qui glisse entre les feuilles ce qui coule sur et sous les branches autour encore au-devant et portent
et pendent les feuilles empilées ce qui frotte et refuse tout est à poser entre la vérité et le certitude ce qui est ce qui pourrait tout tourne et je recommence poser une feuille sur une autre penser la goutte en suspension et si le grain ne meurt et si le chiffre est gravé de branches en branches nos jours
deux lettre mêlées je te tourne et tu comprends certitude et vérité la rive est posée tout se tient et tout augmente plus haut plus fort ne rien dire et ne rien plaindre devant tout au-devant tu es encore et encore pour l’avance pour le temps à suspendre une goutte et une autre une figure et pour le reste
l’accessoire des cris et des tremblements ce qui est le plus ce qui est la chose parfaite vérité et perfection et choses vues et choses dues tout encore à poser et pour dire le reste encore accessoires et petits riens je tiens et tu commandes nous y sommes et nous y allons gouttes d’eau suspendues au doute
éternité pierre posée et déposée à l’ombre et l’ombre enfin au jour tout te tient et tu retournes un caillou sur une autre fac et l’ombre enfin ensoleillée je te tiens et tu demeures depuis longtemps et pour toujours depuis longtemps le vent entre les feuilles l’ombre sous la pierre la goutte toujours tenue
en suspension soutenue j’y tiens j’y viens et de tout ce tout recommence l’air passe entre les feuilles et les yeux ouverts la main tremblante je tiens tu viens et tu tournes et ce qui commence ce qui revient je suis encore et encore dans une autre éternité grain mourant jours chiffrés tout en espace feuilles
très important tout en avenir devenu pour voir et entendre et sentir encore et encore les cris les tremblement le flot de l’air entre les feuilles
15 avril 2021.
RépondreSupprimerLe souffle du printemps
humble présent si doux
à la lumière du jour
deux mots métissés
gouttes d’eau en suspens
le reste est dérisoire
l’éternité est sous la pierre
au cou de l’infini