Et prendre, devant, la racine est plus forte, le compte, le retour, et tout ce qui sur terre prend un nom, je te chante et j’accepte, nous y sommes, nous y allons, comme une ombre comme un soupçon, la différence entre le fort et le plus faible, il reste et il reste des bribes, conversations usées et fraicheur, tout est tourné, au-devant la racine brûle, je te cherche, et tu me soutiendrais, et encore, ce qui sur terre prend un nom, j’admire.
27 février 2021.
RépondreSupprimerRacine de la terre
son nom chante dans l’ombre
soupçon d’une nuit
prochaine
bribes d’un temps
absent
faiblesse du plus fort
encore un cœur sans nom