Au bord, au bord, et îles et canaux, je suis vague, et tout tourne, sans toi, sans eux, et rien pour rien, et surtout pas, et encore que, et voyons donc, nous y sommes, y serons-nous, je tourne et tu navigues, cœur ébouillanté, tu renverses les principes, on se détache, et les bonds, et les yeux, et ce qui tourne, et rejoins, j'en suis, en être, de retour et de certitude, tu es au calme et tu fermes un œil, un œil et le doigts traîne et tout ici s'emballe, net.
19 août 2020.
RépondreSupprimerAu bord de l’île
la vague tourne
sans toit ni loi
cœur lessivé
yeux délavés
dans le creux de sa main
le monde entier
Toi donc qui calmes-tu?
RépondreSupprimerUn calame au bout des doigts
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Du jour d'hui...tu continues!