A la chambre, au pavé au-devant, dans l'attente, dans le bruit, je te vois, je te dois, tu surveilles et répares, je tourne et encore, encore, de bien et de risque, et de colère éperdu tu tiens, et tu gouvernes, et de ravissements en ravissements, tu formes et tu goûtes, temps compté, ciel éclairé, cœur sur la pierre et main posée, je trouve et tu dois, au fond, à mesure, tu coupes l'air, de rêves et de langueurs, languissons, languissons, et tenons ensemble.
18 août 2020.
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RépondreSupprimerColère perdue
le cœur est sur la pierre
les rêves posés
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